Les beaux malaises

Cette année, c’est chez Martin que se déroule la fête de Noël. En plus de sa mère Monique et de son frère Marc-André, on retrouve la famille de Julie : sa mère, sa sœur (qui veut un enfant au plus vite), le beau-frère (un bon à rien). Des gens qui n’ont en commun que leur ADN. Croyant se simplifier la vie en recevant les deux familles en même temps, Martin et Julie multiplient plutôt les ennuis.

En s’obligeant à ne dire que la vérité, Martin provoque des malaises autour de lui. Comme tout le monde, Martin considère souvent qu’un petit mensonge simplifie la vie. Pour le confronter au « vrai », le psychologue l’astreint à ne dire que la vérité. Difficile d’exister sans une hypocrisie de bon aloi avec ses amis ou dans le domaine des arts.

Martin doit accompagner Florence chez son amie Océane, qui célèbre son anniversaire. Il découvrira un autre monde, celui de cette fillette défavorisée mais heureuse. La mère d’Océane est le parfait exemple d’une mère indigne qui vit dans un logement insalubre et qui a des moeurs indicibles. Mais l’événement sera aussi l’occasion de constater qu’on peut être différent de ses parents.

L’humoriste bien connu Martin Matte se retrouve au centre d’une polémique médiatique. Martin est dans la tourmente. Tout commence par un détail insignifiant, une petite niaiserie pour amuser ses enfants. Plus le « scandale » grandit, moins Martin n’a de contrôle. Malgré l’aide de sa mère et l’appui de ses amis, la situation oblige Martin à faire une sortie publique.

Confronté à un vendeur qui ne s’exprime qu’en langue anglaise à Montréal, Martin entreprend la lutte. D’abord avec ses enfants : oui, la maîtrise de l’anglais est importante, mais il ne faut pas qu’elle se fasse au détriment du français. Puis la lutte de Martin s’engage contre les objets. Un grand débat auquel prendront également part ses amis.

Comme prévu, Martin, Patrick et Jean-François vont en camping entre gars un week-end. Ce qui n’est pas prévu, c’est qu’un quatrième larron se joint au groupe : un collègue de Patrick qui a du mal à se fondre au trio. Autre imprévu : Jean-François y va d’une confidence inouïe sur sa sexualité. Tout cela sans compter le mensonge dans lequel s’embourbe la relation de couple de Pat.

Obligé de produire du matériel pour le web, Martin se résigne. Mais la mauvaise foi sera au rendez-vous. En plus de subir une entrevue insignifiante et de vivre des rencontres avec des vedettes, Martin subit le harcèlement d’une vendeuse de système d’alarme qui semble tout connaître de sa vie privée. Difficile d’être tranquille quand on s’appelle Martin Matte!

Martin et Julie s’autorisent une escapade, un moment ensemble, afin se retrouver. Le couple confie donc les enfants à Monique, la mère de Martin, et essaye de passer une nuit à l’hôtel, dans un spa où l’amour devrait être la priorité. Mais les turbulences sont nombreuses et les retrouvailles ne se dérouleront pas comme les amoureux l’auraient cru…

Martin envisage d’abord de laisser Léo se rendre seul au tournoi de soccer avec le papa d’un autre garçon de l’équipe. Toutefois, Monique et ses amis ont tôt fait de l’alarmer sur les risques qu’il y a à laisser son enfant entre les mains d’un étranger qui aime un peu trop les petits garçons, obligeant Martin à faire aussi le voyage.

Julie est au bout du rouleau. Alors Martin lui propose de partir passer quelques jours chez sa cousine à Chicago. Pendant ce temps, il gère les enfants et la maison et, malheureusement, décide de faire une petite rénovation : changer une toilette. Et puisque les malheurs ne viennent jamais seuls, Patrick décide de s’occuper de son ami esseulé en lui présentant de « charmantes relations ».

Patrick a trompé sa blonde une fois de plus, mais une fois de trop : elle le met à la porte. Alors il se tourne vers son ami Martin pour l’aider. Martin et Julie accueillent l’homme défait dans leur salon. Rapidement, Patrick prend ses aises. D’ailleurs, Martin n’a pas que son ami à gérer : cette femme de ménage a aussi la désagréable habitude de prendre un peu trop ses aises dans la maison.

Un toucher rectal banal pour vérifier la prostate… mais un détail qui fera boule de neige. Le médecin de Martin ne prend pas de chance et réfère celui-ci à un urologue. En attendant les résultats des tests, il angoisse. La mère et les amis ne sont d’aucun secours contre l’angoisse du pire. La crainte d’une fin probable, précipitée, donne une toute autre saveur aux petits tracas du quotidien.