Une île

Chloé est une jeune fille recueillie sur l’île, alors qu’elle était enfant, trouvée dans une grotte. Aujourd’hui, elle n'a qu'une amie Sabine et elle accepte de se rendre à la fête sur la plage, organisée par les jeunes du village, dont beaucoup quittent l’île, magnifique, mais sans ressources, car la pêche ne nourrit plus les hommes. Boris tente de la violer et tombe dans le coma, il est secouru.

Le Capitaine Bruno Pagani débarque sur l’île, venu du continent. Il traque, depuis des années une femme, Théa, qui laisse des hommes morts derrière elle. Il sait retrouver les corps des 2 pêcheurs tués, sous la mer. Et pense que Théa n’est pas venue là par hasard en effet, elle entraîne Chloé sous l'eau qui curieusement parvient à respirer.

Chloé découvre Théa qui embrasse un homme sur le port, le tuant. César qui a sorti Chloé de la grotte, enfant, veut la protéger à tout prix de Théa car il connaît le pouvoir des sirènes sur les hommes et la manière dont les habitants de l’île, il y a longtemps, les ont chassées et tuées. Il va pour tirer sur Théa, quand, Bruno s’interpose et prend la balle.

Chloé, soudain assurée, se rend chez Loïc. Pour la première fois, ils font l’amour. Loïc ne résiste pas. Comme Théa de son côté se laisse aller à l’attirance qu’elle éprouve désormais pour Bruno, l’homme qui l’a sauvée et qu’elle entraîne avec elle dans l’eau. Pour chacun des deux hommes, l’attirance pour les femmes sirènes est plus forte que la peur.

L’amour a épargné Bruno et Loïc. Des poissons morts maculent la plage et un filet visqueux s’écoule des narines de Théa et Chloé. Deux hommes précipitent des fûts pollués à la mer, Théa se venge et en tue un. Chloé s’enfuit ; elle n’est pas une meurtrière. Théa, blessée, polluée de l’intérieur, semble à bout de force. Bruno bientôt aidé de Chloé tente de la sauver.

Deux jeunes gens, amis de Boris qui a fini par se suicider, ont un plan qui consiste à enlever Chloé pour attirer Théa. Bruno qui s’interpose est tué. Chloé kidnappée est enfermée dans une cuve remplie d’eau ; preuve qu’elle y respire et n’est pas humaine…