Qui n’a jamais entendu les notes inquiétantes de O Fortuna, le mouvement qui ouvre la cantate de Carl Orff ? Les complaintes médiévales se mêlent ici à la modernité et se laissent exalter par des chorégraphies contemporaines et des chœurs éclatants. L’occasion de se repaître les yeux et de redécouvrir des airs désormais connus de tous.